vendredi 11 juillet 2014

STAGIAIRE À FOURRER

STAGIAIRE À FOURRER
L'histoire que je vais vous raconter est fictive mais elle se déroule dans mon environnement quotidien actuel (les prénoms sont faux évidemment).
Je m'appelle Mathis, j'ai 21 ans, 1m80 brun, plutôt mignon, peu poilu, je fais plus jeune que mon âge. Depuis plusieurs mois je fais très attention à mon corps, je m'entretiens bien, donc on peut dire que je suis plutôt sexy. Genre fin mais pas trop, une bonne base de muscles uniformes un peu partout, et des belles petites fesses lisses de passif gourmand. Je suis actuellement en stage dans une agence de communication à Lille depuis quelques semaines. Pas mal de gens y bossent en ce moment, stagiaires ou employés. Mon maître de stage s'appelle Lucrezio. C'est un grand type de 38 ans, assez intimidant (et donc excitant), difficile à cerner, qui déconne pas mal mais qui semble toujours vous sonder quand il vous regarde. Brun les cheveux courts et bouclés, barbe de 3 jours mal rasée, démarche de racaille malgré sa fonction et son age. Même si ce n'est pas pour ainsi dire un gars canon, je ne peux pas m'empêcher de fantasmer sur ce mec.
Je l'imagine en train d'abuser de ses fonctions pour abuser de moi, petit stagiaire à sa merci. Quand il me regarde j'ai vraiment l'impression qu'il va me dévorer tout cru, et ça m'excite terriblement. Mais évidemment je me fais des films. Autre mec notable de la boite : Jean. Il bosse dans le même bureau que Lucrezio. Lui est plutôt jeune, il a 26 ans, et pour le coup c'est un beau gosse. Pas très grand mais plutôt viril et posé, la voix grave et terriblement sexy. Relativement athlétique, mais fin dans le haut du corps, son plus gros atout c'est son cul. Putain ce cul !! Tellement sexy, et viril, et musclé, bombé, rond, masculin, miam !! Je croquerai bien dedans ! À chaque fois qu'il passe près de moi j'ai envie de malaxer ses magnifiques fesses pendant des heures, d'y frotter mon visage, de les lécher... Et je ne peux pas m'empêcher de penser que ce qui est devant est tout aussi impressionnant. Je sais qu'il a une copine, elle a bien de la chance putain, de pouvoir profiter de ce corps de mâle autant qu'elle veut...
Moi je suis encore puceau, et oui... à 21 ans... Je n'ai pas vraiment eu d'occasion, je rencontre pas beaucoup (pas du tout) de gay et je ne m'affiche pas en tant quel tel. De plus j'aime les mecs qui font vraiment hétéro donc c'est mal barré pour moi...
Enfin bref ! Toujours est-il qu'un lundi, j'arrive donc à l'agence, un peu en avance. La porte est ouverte, je monte, je rentre. Je vais jusqu'au bureau des mâles pour dire bonjour (ils sont toujours les premiers sur place). J'entends un bruit de ceinture qu'on dessert. Je me fais discret et je passe la tête dans l'entrebâillement de la porte. Et là je vois ce que je rêve de voir depuis des semaines. Jean est là, haletant, en sueur (je pense qu'il vient d'arriver en vélo, il a dû se taper un sprint), torse nu, il vient de défaire la ceinture de son short en jean et commence à le faire glisser vers le bas. Oh merde ! Il avait passé son pouce sous son calbut et c'est tout le bas qui tombe ! Je vois le tissu caresser lentement les magnifiques formes de ses fesses qui se dévoilent enfin ! J'en crois pas mes yeux, ça y est, il est nu devant moi ! Et quel cul !!!! Encore mieux que ce qu'il laissait paraître, c'est le cul le plus musclé, le plus rond et le plus relevé que j'ai jamais vu !
Légèrement mais uniformément poilu, avec des superbes cuisses bien épaisses et bien musclées et bien poilues qui accompagnent le tout pour créer la vision la plus sexy qui m'ait été donné de contempler. Il se tourne un peu et... il bande ! Ou du moins il a une érection bien entamée ! Et miam que cette queue à l'air appétissante ! Bien épaisse, bien grosse, plutôt grande, assez veinée, j'adore ! Si j'écoutais mes pulsions je me jetterai à ses pieds sur le champ, j'enfournerai sa bonne grosse queue dans ma petite bouche de puceau et je malaxerai ce cul de l'espace. Mais non, je ne bouge pas. Lui par contre commence à empoigner sa queue d'une main en soupirant, tandis qu'il extirpe le calbut de son short resté par terre de l'autre. Le calbut est trempé de sueur, je suppose que c'est pour ça qu'il s'est déshabillé. Il le presse contre son visage et inspire à plein poumons. Ça à l'air de l'exciter (et il n'est pas le seul!). Et son érection redouble d'intensité. Sa main fait de longs va-et-vient sur son membre qui est maintenant tout bonnement énorme ! Ça à l'air tellement bon putain !! Tellement épais et puissant ! J'en veux dans ma bouche !!!
Il lâche son chibre, ramasse son t-shirt et commence a éponger son corps en sueur avec le vêtement. J'ai l'impression d'observer la scène en slow motion, comme une scène sexy d'une série télé. Putain comment j'ai la gaule ! Et mon petit trou vierge est grave en chaleur lui aussi ! Je le sens tout dilaté et affamé ! Il finit de s'éponger, renfile son T-shirt puis son short. Oui, sans calbut... putain ce gars est badant ! Seule sa queue et ses boules dépassent encore du vêtement dont la braguette n'est pas encore fermée. Une idée me vient.
Vite je sors mon i-phone pour essayer de capturer le moment ! Putain pourquoi j'y ai pas pensé avant ! Lui est en train d'inspirer une nouvelle fois l'odeur de son calbut en branlant à nouveau son gros chibre de mâle. Allez vite, vite, l'app… appareil photo... et... hop ! C'est bon ! Le gros oiseau est dans la boite. Yes !... Merde ! Le portable m'échappe et tombe derrière moi, non sans bruit. Jean l'entend et prend peur. Il balance son calbut sous un bureau pour vite rerentrer avec difficulté son imposant matos dans son short et refermer le paquet. On se calme, il ne m'a pas vu l'observer, je ramasse le téléphone dernière moi, attrape un bouquin sur une étagère et entre dans le bureau.
— Salut ! Désolé j'ai fait tomber ça de l'étagère.

Je montre le livre. Il s'approche en souriant, encore un peu essoufflé et me tend la main. Sa queue toujours raide distant son short de manière obscène, mais il ne s'en rend pas compte.

— Ca va?  Tu sais que c'est férié aujourd'hui, t'avais pas besoin de venir.

Ah merde, j'avais zappé... Je lui serre la pince. Humm c'est encore humide, certainement un reste de precum de sa furtive masturbation.

— Je dois y aller, j'ai une course à faire avant que Lucrezio arrive, me dit-il. D'ailleurs il sera pas là avant une heure je pense. Du coup fait comme tu veux, tu peux rester si t'as envie, mais ça sera que nous 3 aujourd'hui.

— Ok, ça marche !

Une journée seul avec ces 2 mâles ? Je dis pas non ! Jean s'en va donc, pendant que je lèche sa pré semence qu'il a laissé sur ma main. Huuuum, trop bon, cette journée commence super bien !
J'attends qu'il parte et je me précipite sous le bureau à la recherche du calbut balancé. Ah, je le vois, il est sous le bureau de Lucrezio. Hop, à 4 pattes et j'y vais. Effectivement il est chaud et bien humide. Je le porte à mon visage pour l'humer. Huuuuum, ça sens tellement le mâle, j'adore ça ! La trique directe. N'y tenant plus je sors ma queue de mon jean (un petit 16 cm qui à tendance à me complexer face aux autres mecs) et me mets à me masturber là, sous le bureau de mon maître de stage qui n'arrive pas avant une heure, avec le calbut tout chaud du mec le plus sexy que j'ai jamais vu, pressé contre ma tronche, et de la testostérone plein les narines. Je sors mon téléphone pour mater la photo de mon mâle pendant que je me fais du bien. Je décide de me mettre à poil pour me sentir encore plus chienne. Putain que c'est bon, c'est presque comme si je le suçais pour de vrai (en tout cas c'est l'acte le plus sexuel que j'ai fait jusqu'à maintenant).
Huum... je suis perdu dans mes sens tout retournés, ces odeurs de mâle, ce plaisir solitaire, cette photo tellement bandante. Je n'entend pas la porte qui s'ouvre dans l'entrée. Ce n'est qu'en voyant un pied dépasser de la porte du bureau que je me rends compte que Lucrezio est en avance. Merde ! Plus le choix, je m'enfonce encore plus sous le bureau, nu, la queue raide et un calbut dans la main. Lucrezio s'assoit et avance sa chaise au maximum sous le bureau, je suis obligé de me reculer encore, j'ai un gros câble électrique qui me rentre dans la raie et frotte mon anus en chaleur, pendant que ma tête est située entre les genoux de mon maître de stage, pile en face de son paquet.
Les minutes passent, il s'est de toute évidence mis à travailler sans se rendre compte de ce qui se passe à quelques centimètres de lui. Moi je n'ai rien d'autre à faire que mater le paquet entre ses cuisses qui me fait de l'œil. Là encore ça à l'air imposant. Surtout que depuis quelques minutes il passe régulièrement la main dessus et ça commence à prendre du volume. Huuuum... s'il me trouve comme ça j'ose à peine imaginer les conséquences mais pour l'instant putain, quelle journée ! Je passe ma langue sur mes lèvre et reprend ma branlette. Je suis là, à poil, je ne peux pas bouger dans être découvert, autant en profiter ! Je me branle donc en respirant le calbut de Jean et en matant Lucrezio se tripoter le paquet sur sa chaise. Ses mouvements sont de plus en plus amples car sa queue s'allonge de plus en plus. Il porte un pantalon très serré et du coup je peux voir son chibre s'étaler le long de sa cuisse droite, raide et long, bien moulé par le tissu léger du vêtement. Ahhh j'ai tellement envie de m'avancer pour lécher tout ça ! Quelle salope je fais ! Et ça m'excite. J'approche le visage au maximum.
Je suis maintenant le nez à à peine 1 cm de son gland gonflé sous son pantalon (je pense qu'il ne porte pas de sous vêtement), et je peux vous dire que là aussi ça sent le mâle ! Putain que c'est bon ! Je respire à plein poumons et me masturbe de plus belle. Les minutes passent, j'ai une main sur ma queue et l'autre qui me rentre 2 doigts plein de salive dans ma chatte en feu de petite pucelle. Là j'entends Lucrezio pousser un grognement « Rho et puis merde ! ». Il plonge sa main dans son pantalon et en sort son chibre bien bandé. Putain mais j'ai trop de chance aujourd'hui !! Elle doit bien faire 23 cm de long ! Mais moins épaisse que celle de Jean. Et il se masturbe en gémissant, ses cuisses s'écartent et il s'affale sur son dossier. Humm moi aussi je redouble d'ardeur avec mes mains, je m'approche de plus en plus de cette gâterie qui me tente tant ! Lui glisse de plus en plus sur son fauteuil, rapprochant sa verge de mon visage peu à peu. Elle est maintenant virtuellement dans ma bouche ouverte ! C'est à dire que si je refermais ma bouche, mes lèvres se poseraient autour de son gland.
C'est risqué mais je ne réfléchis plus. Je suis juste une petite pute en manque de bites, en manque d'hommes, de sexe, de mâles ! Dans mon excitation je me repositionne sur mes genoux, mais je heurte une multiprise et tombe en avant ! Il n'a fallu que 2 ou 3 cm et voilà. J'ai maintenant la bouche ventousée tout autour des 10 premiers centimètres de sa verge. Il sursaute et recule brusquement, retirant son membre de ma bouche. Je perds l'équilibre et continue ma chute. Et me voilà donc, nu, la tronche sur le calbut de Jean qui traînait au sol, le cul en l'air et cambré, une main sur ma bite en érection et l'autre en train de me fourrer le trou de 2 doigts, un filet de bave reliant ma bouche à la teube de mon maître de stage assis sur une chaise à un mètre de moi, le regard rivé sur mon corps de salope nue et offerte, insondable.

Je suis donc nu, au sol devant Lucrezio, mon patron. Une main sur ma bite, l'autre sur mon trou, le cul cambré. Lui est sur sa chaise, sa queue raide, sortie et humide de ma bouche qui l'a recouverte pendant une fraction de seconde. Et il me regarde. Il ne dit rien. Une bonne minute passe sans qu'un mot ne s'échange, je n'ose pas bouger. Je pourrais prendre une position plus décente mais je n'ose pas faire une geste, son regard me pétrifie. Sa queue est toujours raide. Il esquisse un sourire et murmure : "J'en étais sur..." Mon cœur bat à 8000. Il continue de me regarder droit dans les yeux, sans rien dire, le sourire aux lèvres pendant encore de longues secondes. "Salope !" me lance-t-il le plus naturellement du monde. Je me sens tellement humilié et à sa merci. Ma queue n'a jamais été aussi raide et humide. Je laisse échapper un petit gémissement pitoyable. Son sourire s'élargit encore. "Petite pute de PD..." Je déglutis et gémis encore. Putain ! Rien que son regard me réduit à l'état de larve ! J'ai l'impression qu'il est en intense réflexion, comme un gamin qui vient de recevoir un super cadeau et qui imagine tout ce qu'il va pouvoir en faire.
Doucement il se penche vers moi, s'agenouille devant ma gueule encore au sol, et glisse sa main gauche dans mes cheveux. Il les caresse quelques secondes puis resserre sa prise et me tire la tête en arrière d'un coup sec. Je gémis encore. Il m'agrippe la mâchoire de la main droite, rapproche son visage du mien et me crache à la gueule. Avec deux doigts il recueille le crachat et les glisse dans ma bouche, de sorte qu'il agrippe maintenant véritablement ma mâchoire de l'intérieur. Je me mets à sucer ses doigts dans ma bouche sans réfléchir. Hummm, j'ai vraiment peur mais la situation m'excite au plus haut point, c'est tout ce sur quoi j'ai toujours fantasmé. Être à la merci d'un homme viril et ultra dominant qui se serve de moi comme il l'entend. "On va bien s'amuser tout les deux," me dit-il. "En tout cas, moi je vais m'amuser, toi je m'en fous un peu salope." Sur ce, il me relève la tronche, agrippe sa queue de la main droite et l'enfourne sans ménagement dans ma bouche de puceau. Là il met ses deux mains sur mes cheveux et commence à me bourriner la gueule en grognant de manière ultra virile. Moi je couine comme une femelle et me décide enfin à retirer mes doigts qui étaient toujours fichés dans mon anus. Grosse erreur. En une seconde il me fout debout en me relevant par les cheveux, me colle quatre grosses baffes de la main droite et finit par un crachat sur ma gueule.
— Qui t'a dit de retirer tes doigts grosse pute ? C'est qui commande ici salope ?!
Une nouvelle baffe dans ma gueule.
— Pardon ! C'est toi Lucrezio, c'est toi qui commande !
Il se met à rire de bon cœur, comme si son excès de colère n'avait été qu'un jeu. « C'est bien Mathis, t'apprends vite, » dit-il en m'agrippant toujours par les cheveux, pendant qu'il pince mes lèvres en « duckface » avec sa main droite. Un nouveau crachat puis il me roule alors une grosse pelle et attire mon corps nu tout contre lui, toujours habillé. Sa grosse langue me fouille la bouche, j'adore ça. Ses mains parcourent mon corps avec ardeur et s'attardent sur mes petites fesses de salope. Il les caresse longuement, les malaxe, les écrase, les tire, les claque, les écarte. C'est tellement bon. Il porte ses doigts à ma bouche pour que je les lubrifie en les suçant puis entreprend de me fourrer mon trou serré de petite vierge pendant qu'il continue d'explorer ma bouche. Je gémis en continu, je suis en transe. Je glisse mes mains entre nos deux corps et agrippe son chibre qui dépasse de son pantalon. Mes deux mains ne sont pas de trop pour attraper ce morceau et je commence à le branler lentement, en pressant bien. On reste comme ça pendant de longues minutes, les meilleures minutes de ma vie, c'est clair ! Lui, fourrant mes trous des ses doigts et de sa langue, et moi, parcourant sa virilité de mes mains. Je me sens tellement soumis en étant nu tout contre lui qui est encore presque tout habillé. Je gémis de plus en plus fort, je couine comme une femelle en chaleur. Lui est de plus en plus brusque dans son doigtage et son roulage de pelle. Je suis au paradis.
D'un coup il arrête tout et me fait reculer en me tirant par les cheveux. Décidément il aime ça me diriger par les tifs. Je vais pas m'en plaire, ça m'excite à mort.
— Dis moi ce que tu faisais à poil sous mon bureau comme ça, en train de t'exciter comme une femelle. C'est à toi ça ? dit-il en ramassant le boxer de Jean.
— Heu.. non pas exactement.
Je me mets à rougir. Je lui raconte alors ma matinée, comment j'ai maté Jean se foutre a poil, comment j'ai pris sa teub en photo et comment j'ai récupéré son calbut pour me branler en reniflant sa bonne odeur de queue. Il m'écoute avec intérêt.
— C'est vrai qu'il est sexy le Jean. Putain t'es clairement une véritable petite salope Mathis. Une petite chienne en manque de queue.
Je n'ose pas répondre. Il me fixe pendant de longues seconde, attendant que je prenne la parole.
— Allez, j'attends, dis le que t'es qu'une pute à mâles.
Il me met une claque sur les fesses. Je n'ose toujours pas. Son visage devient sévère et contrarié et il m'en remet une beaucoup plus violente qui fait un bruit d'enfer. Je pousse un cri tout sauf viril.
— Oui c'est vrai, je suis qu'une sale petite pute soumise. Une salope en manque de bite ! Je veux de la queue, je veux être utilisé par des vrais mâles comme toi qui me traiteraient comme une petite chienne ! C'est tout ce que je mérite ! J'ai besoin de servir de sextoy à tous les mecs qui veulent se vider putain ! Je veux me faire baiser ! J'en ai tellement besoin. J'veux des queues dans tous mes trous de salope vierge !
— Quoi ? T'es une pucelle Mathis ? Putain c'est trop cool ! Je vais t'ouvrir moi salope !
Et là tout s'enchaîne très vite. Il m'agrippe une nouvelle fois par les cheveux et me tire à sa suite en sortant de son bureau. Il me traîne jusqu'au petit balcon où les employés sortent fumer. C'est très possible que les voisins puissent nous voir, mais ça n'a pas l'air de le freiner. Là il me fout un sol sens ménagement et me lance « Pompe salope ! » Je ne fais pas prier et me jette sur son sexe toujours dressé. Pendant ce temps il sort une capote et du lubrifiant de Dieu sait où. Je m'applique à bien lui déguster sa grosse queue de mâle dominant, en gémissant comme une petite salope pour le faire kiffer. Il profite de ma bouche quelques minutes puis me relève, me penche contre la rambarde, et me claque copieusement le cul, très peu perturbé par mes cris qui résonnent entre les bâtiments. Il enfile la capote et enduit généreusement sa queue de lubrifiant. Mais il ne me pénètre pas. À la place il s'agenouille derrière moi et se met à me dévorer le cul comme un ogre. WAAAAAW c'est vraiment une des meilleures sensations au monde ! Sa barbe frotte contre mes fesses et mon anus, sa langue me fouille profondément, je suis aux anges. Ça dure cinq bonne minutes, puis il se relève, m'écarte les fesses autant qu'il peut et se met à me foutre les claques directement sur l'anus. Putain ça fait mal mais en même temps c'est tellement bon ! J'adore ça !
— OOOooh ouiii claque moi putain, c'est tout ce que je mérite !
— Tu l'as dit salope !
Et il redouble d'ardeur dans ses claques d'anus. Je gueule comme une putain. Je prends un pied de malade. Là, en deux secondes, il verse une grosse quantité de gel sur mon anus déjà bien travaillé et m'enfourne direct sa grosse queue de mâle en rut. Je gueule comme jamais. Sa lance me pénètre d'une traite, sans pause, mais rentre comme dans du beurre tellement je suis excité et mon anus dilaté. Comme dans du beurre, c'est peut-être un peu exagéré, ça fait clairement mal mais j'en ai tellement envie que j'ignore la douleur et me concentre sur mon plaisir. Ça y est, je suis en train de me faire prendre pour la première fois ! Il commence ses va-et-vient. Lentement d'abord, puis de plus en plus brusques et puissants. Dedans, dehors, dedans, dehors. Ça me déchire mais c'est l'extase ! Quelle salope je fais ! Il rentre et sort sa queue quasiment en intégralité à chaque passage. Moi je gémis comme une pute, je le supplie de continuer, de m'utiliser comme sa chienne, Je lui dis que je lui appartiens, que mon trou est à lui et qu'il peut s'y défouler autant qu'il veut. Mes suppliques ne tombent pas dans l'oreille d'un sourd. Et il se met à me dégommer le trou avec toute la puissance dont son corps de mâle dispose. Il grogne comme un ours et reprend ses bonne habitudes : une main m'attrape les cheveux et me tire la gueule en arrière, l'autre m'agrippe la mâchoire en enfournant quatre de ses doigts dans ma bouche. Je les suce instinctivement.
— Cambre toi mieux qu'ça, sale putain !
Hummm ouiiiii, j'adore qu'il me donne des ordres ! Je cambre mon cul de salope du mieux que je peux, je veux faire plaisir à mon mâle. Je ne sers qu'à ça. Je veux qu'il jouisse en moi, grâce à moi !
— Huuuum oui t'es tellement bandante sale pute...
Oh oui il me trouve bandante, ça m'excite tellement !
— Petit stagiaire de merde, j'te défonce ! Tu sers qu'à ça dans la vie connasse, te faire démonter par des vrai mecs !!! Dis le grosse pute, dis le !!!
— OUI Lucrezio je sers qu'à ça ! Je suis ton petit stagiaire, ta chienne obéissante, je t'appartiens !!! Dérouille moi mon cul d'pute ! Utilise moi !!!
Il accélère encore le mouvement, je ne pensais pas ça possible. Il me martèle comme un marteau-piqueur en surchauffe. Il continue de m'insulter copieusement, me tire la gueule en arrière encore plus fort, je suis obligé de me cambrer comme jamais, j'ai l'impression qu'il va me casser en deux ! Et je le laisse faire. Je me masturbe en même temps, je suis à deux doigts de jouir. Ses coups de butoir sont aussi puissants qu'un crash d'avion à chaque aller-retour. Je suis secoué comme une brindille écrasé par un rhinocéros. BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM BAM, je prends tellement cher ! Il pousse un râle ultra puissant à réveiller tout le centre-ville et se fiche au plus profond de moi, je sens sa capote se remplir et gonfler dans mon fondement. S'il n'en avait pas mis il m'aurait inondé jusqu'à l'estomac ! Il continue de m'insulter en se vidant, j'adore ça... J'aperçois trois des voisins d'en face qui nous regardent, éberlués. J'en ai rien à foutre. Un d'eux, un rebeu, semble se tripoter le paquet en me regardant droit dans les yeux. Je jouis à mon tour en gueulant comme jamais. J'expulse des litres et des litres de foutre qui viennent s'écraser dans la cour intérieur au rez-de-chaussée. J'ai jamais joui comme ça. Je suis littéralement vidé et épuisé, et dans un état de bien-être jamais atteint jusque là. Je sens Lucrezio retirer sa queue, sans douceur, puis me claquer le cul.
— Putain !... T'es vraiment bonne sale chienne... Grosse pute. J'le savais que t'étais une grosse pédale, avec ta p'tite gueule de minet innocent là, j'avais envie de te poutrer depuis que t'as passé l'entretien pour le stage salope. Tu mérites que ça de toute façon. T'es né pour te faire baiser, ça c'est clair.
Je suis tellement heureux ! J'ai le sourire aux lèvres et rien ne pourra me l'enlever. On se dirige tous les deux vers la porte du balcon, moi en tête. Et là, accoudé au mur, Jean nous attend, tout sourire, sa grosse queue super épaisse dans la main en train de se l'astiquer lentement.
— Hé ben Mathis ! Quel spectacle ! Tu cachais bien ton jeu hein ? Ahah !
Merde, il a tout vu. Putain, qu'est-ce qu'il est beau ce con...
— Tu sais je t'ai capté tout à l'heure quand tu me matais me déshabiller, mais ça m'excitait grave de te savoir caché dans un coin en train de baver sur mon cul et ma queue. Si tu savais le nombre de fois où je t'ai grillé en train de me mater le cul ! Il te plaît hein ?
Je mets un moment à reprendre contenance et à oser répondre. Au point où j'en suis, autant jouer franc jeu :
— Ohh oui Jean, il est tellement magnifique ton cul ! J'l'adore, t'es vraiment trop sexy et viril ! T'es un vrai mec. Tu me plais tellement !
— Allez, reste pas planté là. Il te reste bien un peu d'énergie pour venir en profiter non ? me dit-il tout sourire.
Je n'en crois pas mes oreilles, je me jette sur lui et l'embrasse passionnément. Pas comme avec Lucrezio, où c'était vraiment bestial. Là c'est tendre et intense à la fois, c'est génial. Puis je me mets à genoux, fais descendre son pantalon le long des ses magnifiques fesses et me mets à les lécher sans plus de cérémonie. C'est trop bon, j'adore ça. Putain je suis en train de lécher, de malaxer, de caresser les plus belle fesses de mecs que j'ai vues de ma vie ! En même temps j'attrape timidement son braquemart d'une main (j'ai du mal à en faire le tour !) et me mets lentement à le masturber. Il gémit, mais d'un gémissement très viril et sexy, rien à voir avec le mien ! Ça me donne des frissons d'être à l'origine de son plaisir comme ça. Il me caresse le visage en me regardant dans les yeux avec un air tendre, tout le contraire de Lucrezio mais tout aussi agréable.
— Allez, tu la mets dans ta bouche maintenant mon beau ?
Putain je crois que je suis en train de tomber amoureux. Je lâche ses magnifiques fesses et me place face à son chibre si massif. Je l'enserre de mes deux mains et commence un mouvement de va-et-vient tout en approchant ma bouche de se gros gland encore recouvert du prépuce. J'ouvre grand ma bouche et fait rentrer le morceau, ça passe juste ! Je suçote du mieux que je peux puis je fais glisser ma langue sous le prépuce et fais des tours autours du gland, j'avais lu cette technique dans des récits sur internet. Ça à l'air de faire son effet, il gémit de plus belle, ferme les yeux et renverse sa tête en arrière. Lucrezio, que devait se faire chier, s'est mis à fourrer trois de ses doigts plutôt violemment dans mon anus fraîchement ouvert, m'arrachant ainsi régulièrement des gémissants peu virils. Je décalotte mon Jean et commence alors une pipe digne de ce nom. Il se laisse faire du début à la fin. Je donne le meilleur de moi-même pour lui donner le plus de plaisir possible. Mais je prends moi aussi un pied fou en suçant ce gros morceau. Putain c'est délicieux, j'adore ça. C'est la meilleure chose que j'ai jamais mise dans ma bouche ! Je suce, je suce, de plus en plus profondément. J'adore la sensation de son gros gland qui cogne contre mon palais. Il gémit de plus en plus fort, grogne parfois, c'est terriblement sexy. J'accélère, je donne tout, je déguste cette queue venue du paradis, en gémissant, tout lui masturbant sa lourde verge de mes deux mains pleines. Je sens qu'il est au bord de l'explosion. Lui aussi s'en rend compte et commence doucement à me repousser le visage.
— Attention je risque de te jouir dans la bouche si ça continue.
Je repousse sa main, plaque les miennes sur ses fesses et appuie pour me coller le plus possible à son bas ventre, enfonçant ainsi aux maximum de mes possibilité sa queue au fond de ma bouche grande ouverte. Mes coups de langues achèvent de le faire craquer. Il crie dans un rugissement de lion, sa verge se contracte encore plus et je sens un énorme jet de sperme me remplir la bouche en une fois. J'avale direct car je me doute que beaucoup d'autres vont suivre. Putain c'est délicieux,. J'ai déjà goûté mon propre sperme mais ça n'avait rien à voir. Là j'ai l'impression de déguster un dessert qui à été confectionné par un grand chef, tout spécialement pour moi. C'est vraiment bon. Deuxième jet de foutre, toujours une aussi grosse quantité. J'avale tout goulûment. Puis le troisième, le quatrième. Un torrent me passe par la bouche, les rasades s'enchaînent, je perds le compte. Je manque de m'étouffer mais j'avale tout, vague par vague. Je dois faire honneur à mon mâle. Et puis c'est tellement succulent ! J'ai bien dû avalé l'équivalent d'un gros bol de sperme bien épais !
Ça s'arrête enfin, je nettoie bien sa bite, consciencieusement, je m'attarde parce que je n'ai vraiment pas envie de la lâcher ! Mais Jean me relève, me prend dans ses bras et m'embrasse une nouvelle fois, encore plus passionnément. J'ai envie de pleurer tellement c'est bon. Je vois que lui aussi à les larmes au yeux. Il me prend le visage entre les mains et murmure, à quelque millimètres de ma bouche, ses yeux plongés dans les miens « Merci... » suivi du plus beau sourire que j'ai jamais vu. Je replonge dans son étreinte et l'embrasse encore et encore.
C'est ce qui s'appelle une journée qui commence bien !

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