Chapitre
13
- Je suis désolé Alex... Sam s'est
suicidé...
Vous avez
déjà vu ces grandes machines dans les usines, broyant les déchets, les
réduisant en un tas de poussière déconfit ? A ce moment-là, j'aurais préféré me
retrouver là-dedans plutôt que d'être à l'autre bout du fil. Je n'ai même pas
réalisé tout de suite, c'est quand Tara m'a regardé que j'ai vraiment compris.
Est-ce vraiment arrivé ? Je ne peux pas le croire... pas lui. Et tout ça à
cause de cet enfoiré. Je vais le tuer, le réduire en miette !
Suivit de
près par mon amis, j'ai laissé le père de Sam dans l'abandon, et me dirige vers
une dune d'herbe, là où sont les autres. Je me dirige vers Stéfan, l'empoigne
par le col de son t-shirt et l'entraîne à l'écart.
- Espèce de connard, mais qu'est ce
que t'as foutus putain ! T'es qu'une merde, tu le sais ça ?!
- Hé mais calme toi ! Qu'est ce que
tu veux ?
- Sam m'a tout raconté ! Il m'a dit
ce que tu lui as fait. Comment t'as pu faire ça hein ? Mais comment ?
J'avais confiance en toi putain..
- Oh on se calme ! Qu'est ce qu'il
t'a dis ?
- Arrête de faire l'innocent !
- Je crois qu'il y a un malentendu
Alex..
- Un malentendu ?! Mais tu te fous
de ma gueule là ? C'est toi le malentendu, un pauvre connard !
- Je peux t'expliquer..
- Mais expliquer quoi putain ?!
- Écoute-moi...
- …
- Sam est malade et je suis le seul
à le savoir.
- Ouais et moi je vais être le seul
à savoir où je vais enterrer ton cadavre, maintenant tu te payes ma tête ?
Ça t'a pas suffit de lui faire du mal ?!
- Il voulait pas vous inquiéter au
début. Mais les choses ont empirées... Il avait des hallucinations, et
c'est devenu de plus en plus important.. Ces derniers temps, c'était
vraiment difficile. On est allé voir un docteur, en cachette bien sûr.
J'ai pris de l'argent à mes parents pour lui payer la moitié, et il lui a
prescrit des tonnes de médicaments. Ça réussissait à le calmer par moment,
mais des fois il pétait vraiment les plombs. Il t'a reparlé de votre
première fois non ? Et du fait que je le battait soi-disant aussi, c'est
d'ailleurs pour ça que t'es là non ? .. Écoute Alex, je fais tout mon
possible pour l'aider, alors me traite pas de méchant..
- Parce que tu crois que je vais
gober ça ?! Il s'est pendu putain..
- Quoi ?!
- T'as très bien entendu..
Pour simple
réponse, il tourna la tête et versa une larme, une et une seule.
- T'es même pas triste, et tu crois
que je vais accepter ce que tu me dis ?!
- Je m'étais préparé à ça c'est
pour ça que ça m'affecte moins, mais je suis bien plus triste que toi, je
voulais passer ma vie avec lui moi, mais depuis qu'il a commencé à perdre
les pédales, j'ai su que ça n'allait pas être possible, et ça m'a détruit,
mais je suis resté fort pour lui, pour essayer de l'aider.
- En tout cas si tout ce que tu dis
est vrai, vous devriez encore avoir les ordonnances.
Il me montra
ces fameuses ordonnances accompagnées de tubes d’antidépresseurs un peu plus
tard, et ce fut la décadence complète, je n'en revenais toujours pas.. Comment
avais-je fait pour ne pas m'en rendre compte ? C'était Sam.., j'étais censé le
connaître. Mon dieu, quelle affreuse personne je suis.
Je n'en
pouvais plus, ça revenait. Cette sensation d'inutilité. J'avais envie de
mourir. Comment j'avais pu laisser Sam comme ça, sans m'en apercevoir.. j'ai
accusé Stéfan à travers, je suis vraiment un moins que rien. Je n'ai même pas
réfléchi, et me suis dirigé vers la salle de bain. J'ai fait coulé un bain.
Vous savez ce que ça fait de vouloir disparaître ? Il n'y a qu'un seul remède à
cette douleur. Je m'empare d'une lame de rasoir soigneusement rangée dans un endroit
que seul moi connaît. Elle s'enfonce sans résistance dans ma chaire qui rougit
immédiatement. Quel sentiment de soulagement. Je continue, encore et encore,
laissant échapper cette souffrance, bien trop grande pour mon petit cœur
fragile. Pessimiste ? Faible ? Peut-être, mais je m'en fiche. Après tout,
personne ne peut me comprendre.
Tout fini par
aller mieux, enfin. Cela fait deux jours que Sam s'est donné la mort, et je
n'ai toujours pas réalisé, mais je venais de me débarrasser de quelque chose d'imposant,
m’empêchant de faire mon deuil. Mais maintenant, tout va mieux.
4 Jours
plus tard
Aujourd'hui,
c'est le jour de l'enterrement de Sam. J'ai enfin réalisé. J'ai reparlé à
Stéfan depuis, et je me suis excusé auprès de lui. Tara a fini par accepter la
vérité à son tour, nos amis aussi.
Il fait grand
soleil, ça lui aurait plu
Il est là,
habillé d'un costume noir, le visage et les mains pâles. Il dort profondément
dans son coffre en bois, rêvant au millier de beaux garçons dans les méandres
de l’au-delà. Il va me manquer, me manquer énormément. Mon premier amour. Mon
dernier regret.
Il m'aura appris une petite chose, c'est qu'à partir de maintenant, plus jamais je ne me lamenterais sur mon sort. Il a été fort, il nous a mis en dehors de ça. Et je l'admire vraiment, c'est quelqu'un de respectable, même si j'avais tendance à le chercher.
Il m'aura appris une petite chose, c'est qu'à partir de maintenant, plus jamais je ne me lamenterais sur mon sort. Il a été fort, il nous a mis en dehors de ça. Et je l'admire vraiment, c'est quelqu'un de respectable, même si j'avais tendance à le chercher.
On se
retrouvera là bas, espèce de boulet.
C'est sur ces
derniers mots, qu'il s'enfonça dans la terre pour toujours. Je ne t'oublierai
jamais, je te le promets.
Je pars en sanglots, lui disant adieu définitivement.
Je pars en sanglots, lui disant adieu définitivement.
Chapitre
14
Une semaine a
passé depuis l'enterrement de Sam. Tout commence à redevenir comme avant,
malgré le grand vide qu'il a laissé derrière lui. Il n'y a pas une journée sans
que je pense à lui, sans qu'il me manque. Je me suis rendu sur sa tombe quatre
fois depuis. J'essaye tant bien que mal de passer à autre chose, mais c'est
difficile.
Je ne porte
plus de bandage et mon bras est guéri, il reste simplement une cicatrice. Je
pense qu'elle marquera cette partie de ma vie, et c'est une bonne chose, cela
permet de ne rien oublier.
J'essaye
d'aider Clément à se comprendre pour qu'il puisse être heureux. Je n'ai pas
trop eu la tête aux sentiments amoureux ces derniers temps, mais j'ai
l'impression que je tombe vraiment amoureux de lui.. et ça me ronge, j'essaye
de résister mais je sais qu'au fond de moi je suis impuissant face à ça.
Quoi qu'il en soit, j'ai décidé de prendre un nouveau départ. Je veux aider mes amis, je veux être là pour les soutenir. Il est hors de question que j'en perde un autre. Il est hors de question que je reste un boulet ! Je veux aussi être moi pessimiste, parce qu'au fond, ma vie n'est pas si terrible qu'elle pourrait l'être, même si j'ai encore un long chemin à faire. Mais je veux quand même rester comme je suis, je ne veux pas changer ma personnalité, je suis bizarre, un pauvre adolescent homo qui boit du thé et qui prend pas deux fois le même moyen de transport dans la journée. Oui je suis comme ça, mais je m'aime comme ça. Pour une fois que je ne me rabaisse pas. Je veux rester comme ça.
Quoi qu'il en soit, j'ai décidé de prendre un nouveau départ. Je veux aider mes amis, je veux être là pour les soutenir. Il est hors de question que j'en perde un autre. Il est hors de question que je reste un boulet ! Je veux aussi être moi pessimiste, parce qu'au fond, ma vie n'est pas si terrible qu'elle pourrait l'être, même si j'ai encore un long chemin à faire. Mais je veux quand même rester comme je suis, je ne veux pas changer ma personnalité, je suis bizarre, un pauvre adolescent homo qui boit du thé et qui prend pas deux fois le même moyen de transport dans la journée. Oui je suis comme ça, mais je m'aime comme ça. Pour une fois que je ne me rabaisse pas. Je veux rester comme ça.
J'attaque
donc une nouvelle semaine de cours, nous sommes lundi, le premier jour de ma
rédemption intérieure. Je continue mon rituel jusqu'au lycée où je fais tous
les efforts possibles pour suivre et bien travailler. En science, la place à
côté de moi est vide. J'essaye tant bien que mal de penser à autre chose. C'est
dur, très dur.
Je me suis
excusé auprès de Stéfan, mais je ne veux pas le voir pour le moment, il m'a dit
qu'il comprenait. Je reste avec Tara, pour manger le midi, même si manger est
un grand mot. Je n'ai plus faim. Les autres doivent sûrement rester entre-eux.
Je promets d'être un bon ami, mais quand tout ira mieux.
Ma journée
s'est résumée en peu de chose. Je suis allé au lycée, comme je l'ai dis
précédemment, puis je suis rentré. Direction mon lit. Je m'y plonge, visse mes
écouteurs dans mes oreilles, écoutant toujours la même musique, en boucle
[linkin Park – The shadow of the day]. Je m'endors. Je cauchemarde. Je me
réveille et finis par me rendormir. Je ne vais pas manger.
Je discute un peu avec Clément. Je me sens tellement bien dans ces moments là. Je l'aime ? M'aime-t-il ? De toute façon, je ne sais même pas comment ça pourrait être possible. Ma mère, son père, et les enfants incestueux c'est ça ? Sans moi non merci.
Je discute un peu avec Clément. Je me sens tellement bien dans ces moments là. Je l'aime ? M'aime-t-il ? De toute façon, je ne sais même pas comment ça pourrait être possible. Ma mère, son père, et les enfants incestueux c'est ça ? Sans moi non merci.
Je ne veux
pas rendre ma mère triste, pour une fois qu'elle trouve quelqu'un de bien.
Quelqu'un qu'elle apprécie.
Clément
m'invite à passer la journée avec lui demain, c'est un jour férié. Quoi de
mieux ? Je m'empresse d'accepter, avant de lui souhaiter une bonne nuit et de
m'endormir.
Chapitre
15
Bip bip bip !
Nous sommes Mardi, et il est 10h20. Aujourd'hui j'ai rendez-vous avec Clément,
on a prévu de passer la journée en ville, enfin j'habite déjà en ville, mais
bon. Je saute dans ma douche aussitôt levé, et j'essaye d'être le plus
présentable possible.
Je sors de
chez moi, environ une heure plus tard, et je prends le bus, direction Place
Anatole, car j'ai oublié de vous le dire, il m'a invité au restaurant. Oui oui,
au resto, avec lui, de sa part, en tête à tête. Je suis si excité que j'arrive
là bas en avance. Je commence à le harceler de messages pour savoir où il est.
Il faut dire que la patience et moi ça fait bien plus que deux.
Il finit par
arriver à mon grand bonheur. Qu'est ce qu'il est beau vêtu de son jean et de sa
chemise blanche. Elle laisse filtrer son ventre à travers les boutons, je suis
en extase. Je lui fait la bise, et sens son parfum si délicieux, je vais le
bouffer. Et là, je bande. Oui je viens juste d'avoir un minuscule contact avec
sa joue, et ça me met dans tous mes états. Je ne suis qu'un petit ado
pré-pubère en manque apparemment.
Je lui laisse
le soin de choisir le restaurant, et il ne tarde pas à se décider, en fait, il
prend le premier venu. Nous nous installons à table et une serveuse nous
apporte la carte. J'ose entre deux lignes regarder ses beaux yeux, ceux qui
m'ont fait craquer. Je ne peux même pas le décrire, c'est tellement divin que
les mots ne me sortent même pas de la bouche. Je n'ai jamais vu quelqu'un
d'aussi magnifique.
Il commande
une salade composée, et moi du saumon fumé. Il engage alors la conversation sur
la scolarité et les études post-bac. Il pense aller en informatique, mais il
hésite encore un peu. Mon bel informaticien, montre-moi ton gros processeur.
Bon d'accord j'arrête.
Il a un air
si passionné quand il parle, il est envoûtant. Toute ma vie s'arrête quand je
suis à ses côtés. Je recommence à manger, j'oublie mes malheurs et mes
désespoirs, mes peines et mes chagrins. Je suis réellement tombé amoureux. Je
suis tombé sous le charme de cet ange. Prends moi avec toi et emmène moi loin
de tout, aime moi, je veux être heureux, je veux te rendre heureux. Si
seulement..
Après avoir
fini notre repas, il règle l'addition. Il est si gentil en plus.. J'en peux
plus. J'ai envie d'être dans ses bras, de sentir sa chaleur, qu'il me sert
contre lui. Tout ça pendant des heures et des heures, sans que rien ni personne
ne gâche cet instant magique. Si seulement..
Il me propose
de faire les magasins, ce que j'accepte avec joie. C'est une de mes activités
favorites. Nous arpentons les rues piétonnes à la recherche de choses inutiles,
d'habits, ou de jeux vidéos dans son cas. J'en profite pour passer à la
librairie, pour acheter un dictionnaire Français-Japonais, le mien s'étant
déchiré à la reliure à cause d'un feuilletage trop intensif.
Un événement marqua d'ailleurs cette magnifique journée. Nous étions dans une boutique de vêtements, et il m'a fait rentrer dans la cabine d'essayage pour me demander comment lui allait le pantalon qu'il venait d'enfiler. Dans ma tête j'ai pensé, il te va super bien, t'es sexy comme ça, mais tu sais que je te préfère sans. Mais j'ai simplement usé de compliments pour le mettre en valeur, sans toutefois paraître suspect. Si seulement..
Un événement marqua d'ailleurs cette magnifique journée. Nous étions dans une boutique de vêtements, et il m'a fait rentrer dans la cabine d'essayage pour me demander comment lui allait le pantalon qu'il venait d'enfiler. Dans ma tête j'ai pensé, il te va super bien, t'es sexy comme ça, mais tu sais que je te préfère sans. Mais j'ai simplement usé de compliments pour le mettre en valeur, sans toutefois paraître suspect. Si seulement..
C'est
d'ailleurs à ce moment que j'ai reçu un sms de ma mère me disant qu'elle ne
rentrerait pas ce soir, car elle trop occupée. Elle a donc décidé de rester
dormir chez M. Smith.
J'ai donc eu
l'idée du siècle.
- Clément, ma mère bosse jusqu'à
demain, tu veux dormir chez moi ?
Chapitre
16
- Clément, ma mère bosse jusqu'à
demain, tu veux dormir chez moi ?
- Je sais pas trop.. tu sais je
suis pas trop comme ça, aller dormir chez les autres, c'est pas mon truc..
- S'il te plaît, je te promets que
tu passeras une super soirée, on regardera des films et on bouffera du
pop-corn.
- M'ouais, tout ça c'est bien parce
que c'est toi hein.
- Super, merci !
Sans tarder,
il demande l'autorisation à son père qui accepte volontiers, car pour lui c'est
censé améliorer notre relation. Qu'est ce que je peux m'en foutre de cette
relation là moi. Je veux qu'il soit mon petit copain bordel !
Enfin bon, on
a pas tout ce qu'on désire dans la vie.. malheureusement. Nous finissons de
faire nos emplettes, avant de rentrer chacun de notre côté. Il est 18h, et il
doit venir chez moi dans deux petites heures. Il faut absolument que je prépare
un super repas.
Je passe par
l'épicerie, je sais qu'il aime les beignets de calamars, et moi aussi donc ça
tombe super bien. J'en achète un sachet avec quelques autres articles et rentre
chez moi.
Je passe le
ménage à fond, aspirateur, lavage de sol, poussière, vitre, meubles. Je crois
que notre appartement n'a jamais été aussi propre depuis que nous sommes ici.
Je file prendre une douche, et essaye d'être aussi correctement habillé
qu'aujourd'hui. Je lance la cuisson des beignets, et mets la table.
Il est déjà l'heure du rendez-vous et mon bel apollon frappe à la porte. Il porte un short, me laissant voir ses jambes fines, et un t-shirt manches courtes assorti. Je vais lui sauter dessus. Enfin, j'aimerais.
Il est déjà l'heure du rendez-vous et mon bel apollon frappe à la porte. Il porte un short, me laissant voir ses jambes fines, et un t-shirt manches courtes assorti. Je vais lui sauter dessus. Enfin, j'aimerais.
Nous
commençons un peu à discuter et entamons notre repas. Il m'a dit qu'il adorait,
et c'est une bonne chose.
- Bon, je voulais te parler d'un
truc.
- Oui ?
- Tu sais, tu essayes de m'aider à
comprendre si je suis gay ou non, et je voulais te remercier, c'est
vraiment gentil tu sais... personne a jamais fait quelque chose comme ça
pour moi.
- Mais c'est normal, tu sais, je
suis content de pouvoir t'aider.
- En tout cas, merci.
Il est trop
mignon avec sa petite voix.
Une fois le
repas terminé, il décide de prendre une douche. Et là j'ai fait quelque chose
d'un peu traître. La serrure de la porte de la salle de bain est assez grand
pour qu'on puisse voir l'intérieur, et elle donne directement sur la baignoire.
J'ai moi, l'habitude de cacher le trou, pour éviter que l'on me regarde, même
si je doute que ma mère soit comme ça. En tout cas, j'ai pu le voir se
déshabiller.
Il enleva
d'abord son t-shirt, laissant apercevoir son torse imberbe, lisse et musclé.
Une bosse se forma automatiquement sous mon pantalon, provoquée par
l’excitation d'un pêché de chaire inavoué. Il est bien plus que tous ces
sportifs et ces athlètes baraqués que l'on peut voir. Lui c'est l'extase, un
fruit interdit, une beauté magistrale.
Il défit
ensuite sa ceinture, faisant glisser son jean à ses pieds. Ses jambes sont
musclées elles aussi, et peu poilues. Je remonte lentement mon regard,
observant chaque petite parcelle de son corps pour ne pas perdre une miette du
spectacle. Je n'ai même pas le temps de regarder son caleçon, qu'il l'a déjà
enlevé, pour laisser apparaître ce que je désire le plus.
Mon dieu, il
est nu devant moi. Il est bien bâtit. Il est très bien monté. Il est super
bandant. Il est vraiment magnifique. Il est.. tout. Je vous l'ai déjà dit je
crois, les mots me manquent pour le décrire. Je vais fondre, je vous jure.
Je l'ai regardé comme ça
le temps qu'il prenne sa douche. Puis je suis retourné débarrasser la table
comme si de rien n'était pour ne pas éveiller les soupçons.
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