lundi 14 juillet 2014

Récit gay

MON PETIT BEUR -1
PREMIÈRE RENCONTRE
Je grimpe quatre à quatre les marches de l'escalier qui mène au quai. 
Ouf ! 
Je suis dans mon train, j'ai failli le rater. Après une journée de boulot, j'ai pas trop envie de poireauter trois quart d'heure de plus pour rentrer à la maison. Je monte à l'étage, la vue y est plus belle en général. C'est le printemps et le soleil couchant donne un relief particulier et une lumière assez irréelle au paysage. Je trouve un siège libre. Je prends place, mon sac d'ordi au-dessus de moi, une revue pour m'occuper.
Machinalement je regarde autour de moi s'il y a de têtes connues. Personne, en revanche je tombe, quasiment en face de moi, sur un beau jeune homme, 20 ans environs, les cheveux très courts, noirs, une belle peau sombre et dorée, des yeux noisettes, un visage régulier et sévère de petit lascard sûr de lui et de sa virilité. Une veste Lacoste blanche, un t-shirt Tachini, un 501 délavé mais pas trop moulant, des Nike rouge et noir et une chaîne argentée autour du cou complètent le tableau. Il est fin et sec comme j'aime.
Je cherche à accrocher son regard… Nos yeux se croisent, il s'arrête un instant et détourne le visage. Par chance, je me suis installé sur le siège coté couloir, je suis donc bien visible. J'ouvre ostensiblement mon magazine… « Têtu » pour ne pas le citer. S'il ne comprend pas à qui il a à faire, c'est qu'il est bête comme une huître.
Pendant les minutes qui suivent, je le regarde systématiquement avec un sourire lorsqu'il tourne la tête vers moi. Il a vu ma revue : même s'il ne connaît pas, avec le mec en slip sur la couverture il n'y a pas de doute à avoir. 
Je le sens troublé, il détourne la tête trop vite, trop ostensiblement.
Une douce chaleur envahi mon bas ventre.
Quelque chose est en train de débuter.
Il change de position, pour se tourner un peu vers moi, mais toujours en détournant la tête. Le buste face à moi, les jambes écartées, je regarde intensément son entre jambe. Les coutures de son jean dessinent de belles courbes. Il me regarde enfin, je fais un petit signe de la tête, l'invitant à se mettre à côté de moi, puis je glisse contre la fenêtre.
Evidemment, il ne vient pas… 
Pas tout de suite du moins. 
A l'arrêt suivant, il se lève et vient s'asseoir à côté de moi. 
Il ne dit pas un mot et regarde ailleurs. C'est à moi de bosser on dirait.
Je colle ma jambe gauche contre la sienne. Je lui frotte le mollet avec le mien. Il retire sa jambe et se penche vers moi en disant avec un accent prononcé :
« - Attends, on descend à la prochaine, on trouvera un coin tranquille. »
Je bande déjà à fond et je me fais déjà des tas de films sur ce qu'on va pouvoir faire une fois à l'arrêt. Le train ralenti et s'arrête enfin. La gare est assez vieille, je la connais et je sais qu'on peut s'isoler facilement. Il se lève sans me regarder et se dirige vers la sortie. Je prends mon sac et le suis. Une fois sur le quai, il se dirige vers la sortie et une fois sur la rue principale il se dirige vers un immeuble en construction.
Il connaît le coin, vue l'heure, il n'y aura personne me dit-il pour me rassurer. 
On rentre dans le bâtiment qui sent encore le béton frais. Heureusement il fait déjà bon le soir. 
Il monte un escalier, rentre dans une pièce au hasard et se dirige vers un coin de celle-ci. Je pose mon sac, ôte mon blouson, le laisse sur le sac et me dirige vers lui.
Je dirige mes lèvres vers les siennes mais il détourne son visage…
Il prend ma main et la pose sur sa braguette.
Il bande.
Je me mets à genoux, j'ouvre son pantalon et extrait sa queue circoncise de son caleçon vert. 
Immédiatement je la prends en bouche. Elle est de taille normale, le gland est plus large que la verge et est bien pointu. Je bande moi-même comme un taureau. Il a une belle gueule d'ange, son jean largement ouvert me permet d'admirer ses cuisses solides et son ventre musclé.
Il me lime la gueule avec un plaisir évident. 
« - J'aime bien les pédés, vous sucez mieux que les meufs. »
C'est un encouragement, j'avale au plus profond sa queue.
Il prend ma tête à deux et imprime un rythme régulier aux va et vient. 
Soudainement il plaque mon visage à fond contre son ventre et ne bouge plus.
Je sens ses abdos se contracter, puis viens le goût familier et vaguement amer. Il retire sa queue de ma bouche, une goutte de liquide blanc perle de son gland sombre.
« - Avale… C'est tout bon… »
J'ouvre la bouche pour lui montrer… Je fais tourner le sperme sur ma langue, lentement. Il m'en a mis une bonne dose. Après quelques secondes, j'avale avec plaisir sa sève. Je reprends sa queue et passe ma langue sur son gland, il ne faut pas en perdre.
« - Ca fait du bien. Tu suces trop bien. Ca te dit demain même heure même endroit ? »
« - Pas de problème, avec plaisir. »
Il hoche la tête, satisfait. Il remballe sa queue juste sous mon nez. 
« - Si tu veux une deuxième tout de suite… » Dis-je rapidement, toujours à genoux.
« - Pas l'temps. A plus. »
Là-dessus, il s'en va, me laissant bandant comme un malade. Je me lève et me branle contre le mur en espérant que demain il sera plus disponible.
Je quitte les lieux à mon tour ne laissant qu'une belle tâche humide sur le sol.

MON PETIT BEUR -2
DEUXIÈME RENCONTRE
Le lendemain, je ne le vois pas dans le train. Ayant prévu le coup, j'ai laissé mes affaires au boulot, je voyage plus léger. Je descends du train et rejoints l'immeuble. Je retrouve facilement la pièce. Il est déjà là, même tenue qu'hier. Toujours aussi craquant.
« - C'est cool d'être venu.
- Je ne refuse jamais l'invitation d'un beau mec comme toi. » Lui dis-je avec un grand sourire.
« - Hier j'ai senti que t'étais encore bien chaud après m'avoir sucé. Je t'ai réservé une petite surprise. » Annonce-t-il, l'air très content de lui.
Mon sang se fige. Je me sens pâlir, ça sent le piège à plein nez.
« - Venez les mecs. » Lance-t-il assez fort, puis il ajoute pour moi seul « - T'inquiète, tu vas aimer, on est réglo. »
C'est alors que quatre mecs entrent dans la pièce à leur tour. Tous bien bronzés, look survêt ou jean/baskets.
«- Alors, vous le trouvez comment ? » leur demande-t-il.
« - Bah ça va. C'est un vieux mais s'il suce aussi bien que tu le dis, ça va aller. » Dit un grand maigre.
« - Vieux ?  J't'en foutrai moi ! » Me dis-je intérieurement.
Le plus petit, l'air teigneux, dit 
« - On pourra lui faire le cul aussi ? »
« - Non, en tout cas pas s'il n'est pas d'accord. » Répond mon beau piégeur.
Finalement, s'ils se contentent de se faire sucer, ça peut être une bonne affaire car ils sont plutôt mignons et bien foutus. 
Je commence à me détendre.
Histoire de reprendre un minimum d'initiative je lance à la cantonade :
« - Qui veut être le premier ? » Ma voix est moins assurée que je ne l'aurais voulu.
Le petit teigneux, sans grande surprise, se dirige vers moi, me repousse dans un coin et, tournant le dos à ses copains, baisse son survêt. 
Je me mets à genoux.
Je comprends pourquoi il a préféré tourner le dos à ses potes : sa queue est d'une taille assez faible. Vraiment petit diamètre, de longueur normale, elle me fait penser à un crayon. Il me l'a fourre en bouche rapidement.
« - Vas-y suce moi salope. » dit-il plus fort que nécessaire.
Avec force gémissements et insultes, il finit par jouir au bout de quelques secondes mais reste encore quelques instants à faire des va-et-vient, avant de se retirer avec un grand soupir de satisfaction. « Ejaculateur précoce avec ça », me dis-je et je ne peux réprimer un sourire condescendant. Il le voit et après avoir remonté son survêt, il me gratifie d'une claque retentissante.
« - T'as raison Morad, il suce bien. Je me viderais bien les couilles tous les jours dans sa gueule. »
Sous le regard de ses potes, il s'en va l'air satisfait.
L'un des types que Morad a invité dit tout bas 
« - C'est sûrement la première fois qu'il a pas besoin de se branler… » Et les autres partent d'un rire entendus.
Un deuxième mec s'avance vers moi de sa démarche chaloupée. Il est un peu plus grand que le précédent, le nez un peu de travers, probablement le souvenir d'une vieille bagarre. Il porte un jean hyper fashion, très délavé avec de nombreuses pièces et un débardeur moulant rouge et des lunettes de soleil gris argenté quasiment transparentes. Comme un chasseur arrivant sur une proie piégée, il me regarde avec un sourire extrêmement sûr de lui.
Il se penche vers moi et me donne un rapide baisé sur les lèvres. Je suis un peu surpris mais ça me va bien.
Il me glisse à l'oreille : « - Tu vas bien aimer la mienne… Elle plait toujours… » 
Et je le vois soulever deux fois les sourcils.
Apparemment ils craignent tous plus ou moins la comparaison que je pourrais faire entre eux. C'est bien les hétéros toujours la peur d'avoir une plus petite bite que les autres. Il se redresse et me regarde à nouveau dans les yeux pendant qu'il ouvre son jean. Il porte un boxer banani. Je ne peux m'empêcher de penser qu'il n'est peut-être pas aussi hétéro qu'il ne veut bien le laisser croire à ses potes.
Il sort alors une bite de bonne dimension avec un gland bien gonflé et doté d'un large méat. Très doucement il attire ma bouche sur son gland. Je commence par passez la langue sur la pointe de son gland et je redescends tout le long de la verge jusqu'à ses couilles. Il relâche sa pression. Il se laisse aller.
Je lèche alors ses couilles tout en massant ses petites fesses fermes. Je remonte ma langue sous sa queue qui repose alors sur mon nez… et j'avale son sexe qui mouille déjà. De ma main droite j'exerce une pression soutenue sur la base de son membre et je masse avec insistance son frein et son gland avec ma langue. Il pousse un soupir de plaisir, non feint. Je me mets alors à le pomper rapidement, de plus en plus vite. Je sais qu'il n'est pas loin du plaisir.
Il retire alors son sexe de ma bouche et se penche vers moi et me demande :
« - Je peux dans ta bouche ? »
En guise de réponse, j'attire ses hanches vers moi et avale à nouveau son sexe. Il se penche légèrement en arrière et m'offre son sexe. Je le branle un peu en lui léchant le gland. J'entends sa respiration qui accélère, je reprends alors la suce à fond. En quatre aller-retour il décharge dans ma bouche.
Son sperme est doux et sucré. Il déverse une quantité appréciable de jus, un vrai nectar. Il retire son sexe de ma bouche et le presse pour en sortir les dernières gouttes qui tombent sur ma langue que j'accueille avec un sourire. Il se penche vers moi et dépose un baiser sur mon front. M'adressant un clin d'œil, il se tourne vers Morad et dit :
« - T'es drôlement bien tombé. T'es cool de partager. 
- C'est normal. J'partage toujours les bons plans avec mes potes.» répond Morad.
Le suivant s'avance.
Survet blanc adidas, requins, foulard sur la tête et casquette, il a le look parfait de la petite racaille de clip américain... Avec sa démarche particulière, il se présente face à moi. Je suis toujours à genoux. Il est fébrile, ça se voit, pas forcément très à l'aise. Je lui adresse un sourire mais il n'y réagit pas. Il se contente de se planter face à moi, jambes légèrement écartées sans même me jeter un regard. Je fais alors glisser doucement son pantalon de survêt sur ses cuisses et descend son caleçon.
Il ne bande pas.
Apparemment ca ne le branche pas trop de se faire sucer par un mec, à moins que ce ne soit la présence de ses potes. Je me rapproche alors de son entre jambe et prends sa queue en bouche. J'effectue quelques passages au long de sa bite, en l'aspirant pour la faire grandir. Ca ne marche pas bien. Il est moins mou, mais n'est pas franchement en train de bander. Je prends ses couilles en bouche pour l'exciter. Bof, pas franchement de résultat.
J'essaye un dernier truc. J'avale à nouveau sa queue et fais tourner ma langue dessus. Dans le même temps, je passe mes mains doucement sur ses fesses… je les fais redescendre sur le haut de ses cuisses et délicatement je fais pénétrer mes doigts entre ses fesses. Mon majeur droit vient masser délicatement sa rondelle. Même s'il a un mouvement de surprise, mon petit lascar se met à bander rapidement. Je ne suis pas sûr qu'il se doutait pouvoir être excité par ce genre de manipulation.
Pour éviter qu'il se braque, je retire rapidement mes mains et je m'applique à lui pomper la queue. Apparemment soulagé de bander, il devient plus entreprenant et me repousse contre le mur. Il me lime alors consciencieusement en rythme. Il prend ma tête entre ses mains pour la maintenir et enfonce sa queue à présent bien raide et bien droite dans ma bouche aussi profond qu'il peut.
Ses poils pubiens sont assez courts et frisés, ils me chatouillent le nez alors que sa queue percute le fond de gorge. Après quelques secondes, il se retire et se branle rapidement jusqu'à se faire éjaculer. Bouche grande ouverte, je récolte la sève de ce jeune mâle qui vient de découvrir que son anus peut lui procurer bien des plaisirs…
Le dernier invité de Morad est un grand maigre. Au moins 1m90 pour à peine 70 kilos suivant mes estimations. Il porte un pull gris et un diesel noir délavé. Il semble assez intéressé par la séance qui vient de se passer. Pendant que son copain se rajuste, il vient près de moi et s'adosse au mur. Jambes légèrement écartées, il fait face à ses potes le visage serein de celui qui sait qu'il va gagner une compétition silencieuse. En examinant de plus près, je vois une bosse très très prometteuse sous le jean. Je pense qu'il est bien proportionné.
Pendant qu'il me caresse les cheveux, j'entreprends de lui enlever sa ceinture. Puis ce sont les boutons de son jean que je défais rapidement. Jean sur les chevilles, seul le slip HO1 noir qu'il porte me sépare de sa gigantesque queue. J'ai une certaine habitude des queues et je pense qu'il est doté d'un engin comme j'en ai rarement vu.
Je lèche tout d'abord son slip… histoire de me faire une idée. Je lui mordille la verge à plusieurs reprises sur toute sa longueur.  C'est alors que je lui abaisse son slip qui tombe sur ses chevilles.
Un membre énorme, 23 centimètres au moins (mesuré sur la face supérieure, et pas depuis les couilles comme beaucoup le font), large de 5 ou 6. Sa section est quasi rectangulaire. Je n'aimerais pas trop me la prendre dans le cul celle-là. Je saisi alors la base et l'abaisse vers ma bouche. Il me faut user de plus de force que d'habitude. Elle rentre tout juste. Ma bouche est bien pleine. J'avale une bonne dizaine de centimètres mais il en reste autant dehors. Dans cette position impossible d'en prendre plus. Je ne sais même pas si mes talents de gorge profonde me permettrait de l'avaler si nous étions dans une position plus académique.
Je kiffe à fond, il est vraiment mon type de mec. Je le branle tout en lui suçant le gland. Ses couilles pendent bien et sont volumineuses. Je les prends en bouche pendant que je le branle. Il a les yeux fermés et semble apprécier mes manœuvres.
Après quelques minutes, il se retire et se penche vers moi :
« - J'ai pas envie de jouir. Je me garde pour ma moeuf. »
«- Tu t'es fait plaqué y'a un mois » Lance Morad 
« - Tes couilles vont exploser à moins que tu ne te branles tous les jours comme un puceau ! » Dit un autre et il se met à rigoler accompagner des deux autres.
« - Si je jute je vais le noyer. » Dit-il pour se justifier.
« - Vas-y te gêne pas, regarde il ne demande que ça ! »
En me regardant à nouveau, je vois dans ses yeux qu'il se décide. 
Il baisse à nouveau sa queue et l'enfourne dans ma bouche. Il se branle pendant que je lui suce le gland.
Avec un grognement il se met à déverser dans ma gorge une quantité incroyable de sperme. Il n'a pas dû se branler depuis des semaines ! Il crache au moins 10 jets. J'ai la bouche complètement remplie. Les seules fois où j'ai eu autant de sperme en bouche c'était avec trois mecs à la file !
J'avale en plusieurs fois tellement il y en a. A ma grande surprise, sa queue reste raide et je le vois en train de continuer à se branler.
« - T'y prends goût hein ! » Dit-il avec une sorte rage amusée.
Les autres sont hilares devant ma mine surprise mais lui ne réagit pas, il continue à s'astiquer le chibre. 
Ca prend à peine deux minutes avant qu'il ne se fasse à nouveau juter. La quantité de sperme est moins importante mais serait tout à fait honorable pour un mec normal. Je fais de nouveau rouler le sperme dans ma bouche et fini par l'avaler.
Je reprends son membre en main, passe ma langue sur sa verge en remontant lentement vers le gland pour finir par un bisou dessus en regardant le mec dans les yeux avant qu'il ne se rhabille. 
Je me relève, mes genoux me font mal. Mes lèvres sont brûlantes mais j'ai un tube de baume dans mon blouson.
Je me tourne vers Morad et je lui demande : 
« - On fait quoi maintenant ? »
« - Tu vas me sucer mais on va faire ça tous les deux. » Les trois autres comprennent et quittent la pièce en me félicitant pour mes services.

MON PETIT BEUR -3
Une fois seuls, Morad me repousse contre un mur. A ma grande surprise il presse ses lèvres contre les miennes et nos langues se mêlent. Il prend mes fesses à pleine mains et se presse contre moi. A mon tour je l'enlace en n'osant à peine croire à la tournure des événements.
« - J'ai envie de te prendre… » Me dit-il.
« - Moi aussi tu sais j'aimerais te prendre. »
Il me regarde surpris. 
« - Je… je sais pas. J'suis pas pédé ! … Normalement… » Dit-il d'un ton piteux.
« - Tu verras, c'est cool, tu aimeras. »
Je défais le premier bouton de son jean et je fais sauter d'un geste rapide les autres. Je glisse alors mes mains dans son dos et le retourne pour que ses petites fesses protégées uniquement par son boxer DIM noir se retrouvent plaquées contre ma queue raidie. Mes mains sont sur son ventre. Ses abdos sont contractés, il n'a pas un poil de graisse et il est imberbe.
« - Attend… non… Je veux pas… » Dit-il faiblement.
« - Pas très convaincant » Lui dis-je avec un sourire.
Je fais glisser mon pantalon à terre ainsi que mon slip. 
Ma queue s'insère dans la raie de ses fesses. 
Le tissu de son boxer donne à ce contact un coté très agréable.
« - Tu me dois bien ça après tout. » Ajoutais-je. 
Il ne dit rien… Il transpire… Il est toujours contracté, mais n'oppose pas de résistance. 
Passant mon bras gauche sur son ventre pour l'empêcher de partir, je fais glisser son boxer de ma main droite.
A présent ma queue est dans sa raie. Elle est chaude et humide. Avec un peu de salive, je commence à masser son anus. Celui-ci est très contracté comme je pouvais m'y attendre.
« - Détends toi, c'est très agréable tu verras. »
Il tente vaguement d'échapper à mon étreinte mais je le retiens. Adossé au mur, je le maintiens un peu plus fermement. Mes doigts se sont frayés un chemin au travers de son petit trou vierge. 
Changeant de bras pour l'emprisonner, c'est de ma main gauche que je présente mon gland à l'entrée de son trou. 
Il se contracte à nouveau. Mais la salive fait son office. 
Millimètre par millimètre je fais pénétrer ma queue dans son corps de rêve. 
Je sens la chaleur de son ventre entourer mon sexe. 
Il n'oppose plus aucune résistance. 
Ses fesses finissent par se plaquer contre mes hanches.
Je suis à fond en lui.
Je reste quelques secondes ainsi pour lui laisser le temps de s'habituer. 
Sa queue s'est un peu ramollie. 
Il transpire de plus belle, moi aussi.
Je le fais se pencher légèrement en avant. 
Et je commence doucement à le limer. Doucement et tendrement, je veux qu'il garde un bon souvenir. Ma queue glisse aisément à présent. Avec ces préliminaires je ne suis pas long à sentir le plaisir monter du fond de mes couilles.
« - Je vais jouir » Lui dis-je.
Son sphincter se contracte involontairement.
« - Ne jute pas dedans s'il te plait… » Implore-t-il.
« - Tu ne m'as pas demandé mon avis pour tes potes… »
« - Non s'il te plait ! »
Je continue mes aller-retour.
« - Ca va venir… »
Il ne dit plus rien… je palpe sa queue : il bande à fond à présent. Il prend son pied, sa queue dégouline de liquide et pourtant je suis en lui.
« - Je vois que tu aimes… »
« - Oui » Avoue-t-il faiblement.
Je me mets à le branler doucement.
Je regarde à nouveau ce beau petit mec planté sur mon pieu, son jean sur les chevilles et je me dis que j'ai beaucoup de chance.
Je ne tiens plus.
« - Ca va sortir… » Dis-je en relâchant mon emprise sur lui.
Au lieu de s'éloigner, il prend mes fesses à deux mains et les rapprochent des siennes.
J'explose alors de plaisir en lui. Je sens mon sexe se raidir à plusieurs reprises et cracher son jus.
Je m'effondre sur son dos, ma queue toujours plongée en lui.
Il se dégage doucement et se retourne vers moi. Je vois que son visage est baigné de larmes. 
« - Pourquoi tu pleures ? »
« - J'ai pris trop de plaisir… J'veux pas être pédé... »
« - Tu es peux être bi simplement. Et puis tu sais, ça fait partie de la nature. On choisit pas. »
Ces arguments sonnent faux à mes oreilles. Je sais bien que ca ne rassure personne ce genre de discours. 
« - En tout cas personne n'en saura rien, t'inquiète. »
« - Merci » dit-il en venant se blottir dans mes bras. 
Sa queue toujours raide se glisse contre mon ventre.
« - Tu veux me prendre ? »
« - Oui. »
Je me tourne et lui présente mes fesses.
D'un geste maladroit, il enduit ma rondelle de salive puis enfonce d'un coup sa queue après avoir longuement cherché mon trou.
Je me contracte de douleur. Il n'est pas doux du tout et je ne m'attendais pas à ce qu'il rentre si vite, sans préparation.
La douleur pulse un long moment… 
Je ne sens pas vraiment ses premiers coups de bite, seulement de la douleur. Je sers les dents.
Puis mon corps s'habitue et sa queue est douce en moi.
Il me baise en rythme, un peu trop vite.
Je sens qu'il s'habitue à mon cul.
Je sens qu'il aime le bruit de son bassin claquant sur mes fesses : n'importe qui dans l'immeuble aurait pu entendre.
Je me demande s'il a déjà pris des filles de cette manière. Il me tient par les épaules et son étreinte est assurée.
Après quelques minutes il pousse un long râle de plaisir et je sens mes fesses se remplir de liquide.
Il se retire immédiatement. 
Je me retourne et avec un grand sourire il me caresse le ventre… 
Et puis il m'embrasse, un vrai baiser long et doux.
Nous sommes là, face à face, enlacés, nos jeans sur les chevilles et nos corps repus de plaisir.
En nous rhabillant, nous avons échangés nos téléphones.
A présent, nous faisons l'amour chez moi, très souvent.
Ses copains viennent aussi… Parfois… Sauf le petit…

4 commentaires:

  1. Trai bon récit continue comme sa

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    1. slt romain, merci pour ton commentaire, j'espère que mes récits te plaise, merci bcp bisous

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    2. Slt mercie de ta rèponsse tes récit me passionne
      ta moyen de mètre + de
      récit stp mercie

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    3. Slt, pour ma part je trouve que je publie déjà pas mal d'histoire, mais je peut essayer d'en publier plus, mais g peur que des personnes s'ennuient car tout le monde n'apprécie pas les récit et préfère les videos ou les photos.
      Je vais essayer de faire de mon mieux, merci pour ta sincérité.
      Bisous, à +

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