Une nuit,
dans un sauna, j’ai croisé un mec d’une quarantaine d’années. Très bien foutu,
regard vicieux, tête virile… Il ma matait grave, comme il matait tous les
petits mecs minces et imberbes ; il sentait le mâle, l’Homme, la chaleur et la
luxure. Nous avons passé de longues minutes à nous mater mutuellement, à nous
tourner autour près des cabines…. Mais sans jamais parvenir à nous retrouver
dans la même en même temps.
Je me suis
donc fait baiser par quelques autres mecs, et à chaque fois que j’en sortais je
retrouvais mon mateur qui me regardait, un petit sourire en coin. Il semblait
même apprécier le fait que je me fasse niquer par d’autres alors que c’était
lui que je recherchais. Vers deux heures du matin, fatigué, je renonce et
commence à me rhabiller, quand il vient enfin vers moi : « Salut. Je te mate
depuis pas mal de temps, t’as l’air bien chaud… Si ça te dit, on pourrait se
revoir un de ces jours… Tu me laisses ton numéro ? »
Il me tend
un crayon et un bout de papier sur lequel je lui note mon téléphone et mon
prénom. Sans un mot de plus, il s’éloigne ; quant à moi, je sors du sauna.
Plusieurs
jours passent, je ne pense plus à cet homme. J’en vois d’autres, j’oublie. Mais
je reçois un texto d’un numéro inconnu : « Salut, c’est Patrick, on s’est
vus au sauna il y a une semaine. T’es dispo ce soir ? Tu viens chez moi ?
» Avant même que je ne puisse répondre, je reçois son adresse et l’heure du
rendez-vous. Je me contente de répondre « ok » ; et le soir même je me rends
chez lui, très excité à l’idée d’aller chez ce mec dont je ne sais finalement
rien, sexuellement parlant. Il habite un quartier calme de banlieue, dans un
pavillon entouré d’un petit jardin. Je sonne à la porte, il ouvre, en t-shirt
et jean, aussi sexy que dans mon souvenir. Je remarque immédiatement la large
déchirure de son jean au niveau de sa bite, qui est entièrement rasée et
apparaît par cette ouverture. La porte à peine refermée, il me plaque contre le
mur, me roule une pelle, et me glisse à l’oreille : « J’ai vu que t’aimais la
bite, toi… Tu vas en avoir ce soir… T’as envie ? »
En guise de
réponse je commence à lui caresser le paquet, mais il me prend la main et la
ramène dans mon dos, puis me déshabille sauvagement. En quelques secondes, je
me retrouve nu. Il m’entraîne vers le salon, m’allonge sur le canapé, en me
caressant et m’embrassant ; ses gestes se font progressivement plus rudes, plus
directs, ses mains empoignent mon corps, pétrissent mes fesses, saisissent mes
deux mains et les maintiennent fermement liées dans mon dos, ce qui m’excite
encore plus. Voyant que je semble aimer ce petit jeu, il attrape un bout de
tissu et s’en sert pour m’attacher les poignets, toujours ramenés dans mon dos,
au niveau des reins. Il me relève et, m’embrassant toujours, m’emmène vers sa
chambre où j’aperçois un grand dressing, qu’un panneau coulissant ouvert laisse
béant. Je suis collé au corps de ce mec qui ne s’est toujours pas déshabillé,
fermement serré dans ses bras. D’une pression sur mes épaules il me force à
m’agenouiller sur le sol, de sorte que mon visage est exactement à la hauteur
de sa bite, qui s’est gorgée de sang et a pris d’admirables proportions. Je me
jette sur cette belle bite raide mais il recule aussitôt.
Déséquilibré,
je manque de tomber en avant : Patrick me rattrape et me remets droit. Je le
regarde avec de grands yeux suppliants : il m’a trop chauffé pour me refuser sa
bite, je n’ai plus qu’une envie : me la prendre dans la bouche et la sucer à
fond ! Mais il reste à quelques pas, me regardant avec un petit sourire en
coin, et commençant à se caresser les couilles, puis la bite ; il ne tarde pas
à se branler devant moi, carrément, sans pour autant s’approcher pour me
fourrer sa queue dans la bouche. N’osant pas bouger, je reste là à le regarder
se masturber, et lui semble prendre un malin plaisir à me laisser attendre. Je
tends la bouche vers sa bite, sors ma langue, la passe sur les lèvres avides,
en lui lançant des regards affamés ; va-t-il se décider à me laisser sucer ?
Non, il
continue, et son jeu dure de longues minutes, des minutes de supplice pour moi,
qui reste la bouche sèche et la gorge vide, sans pour autant oser le moindre
mouvement en avant. Enfin ses mains se font plus rapides sur sa queue, enfin il
s’approche, enfin son gland est à peine à quelques centimètres de mon visage,
enfin je vais le sucer : il me met brutalement sa bite dans la bouche,
l’enfonce dans le fond de ma gorge ; je n’ai même pas le temps d’en profiter
que déjà de longues giclées de sperme m’emplissent la bouche, tapissent ma langue,
coulent dans ma gorge. Il se retire de ma bouche, me lance « N’avale pas », et
promène son gland sur mon visage pour y étaler son foutre encore chaud.
Me voilà
tout gluant de sperme, la bouche pleine, n’ayant même pas pu sucer… Mais la
soirée ne semble pas finie, car le mec me relève et m’emmène vers le dressing,
m’y remet à genoux, et en referme aussitôt la cloison. J’entends un bruit de
cadenas qu’on referme. Il n’y a aucune lumière ici, le noir règne. Mes mains
attachées me gênent, je voudrais tenter de trouver quelque chose ici, de me
repérer. Je me déplace légèrement vers la gauche, vers la droite, essaie de
toucher les extrémités avec mes épaules, mon visage : je ne RENCONTRE que des
étagères vides et des cintres nus. Un dressing inutilisé, apparemment. Soudain,
une lumière jaillit : un petit orifice rond vient de s’ouvrir dans la porte.
Je regarde,
mais il n’y a rien, je ne vois que la chambre dans laquelle j’étais quelques
minutes auparavant. J’entends le bruit d’un interrupteur, et le noir revient,
total. Je regarde à nouveau par le trou toujours ouvert mais je ne vois
vraiment plus rien du tout. J’attends là quelques minutes encore, jusqu’à ce
qu’un bruit de pas me fasse approcher de l’orifice rond dans la cloison. A
peine y ai-je jeté un coup d’œil que je sens le contact d’un gland sur ma joue,
je ne vois rien, mais je comprends immédiatement que la bite jaillit de ce trou
; sur ma peau je la sens à moitié raide seulement, mais je m’empresse de
l’engloutir et de la sucer pour lui donner de la vigueur, elle grossit
rapidement dans ma bouche, je la pompe du mieux que je peux, en prenant le plus
possible jusque dans le fond de ma gorge, je suce à fond, mes va et vient se
font de plus en plus rapides sur cette queue qui est bien dure à présent ; ce
n’est pas celle de Patrick, elle est plus longue mais moins large ; de temps en
temps je sens les poils pubiens contre mon visage quand je parviens à la faire
entrer entièrement dans ma bouche.
Je suce et
suce et suce pendant deux ou trois minutes, puis cette bite se retire de ma
bouche et lâche son jus qui gicle sur mon visage, sur mes lèvres, sur mes
joues, le sperme coule et dégouline sur mon menton, dans mon cou, jusque sur
mon torse. Les mains liées je ne peux rien faire pour m’essuyer, d’ailleurs je
n’y songe même pas, sentir ce sperme sur moi m’excite terriblement. J’entends
le propriétaire de la bite s’éloigner, et je n’attends pas quinze secondes
qu’une deuxième queue se cogne contre mon visage. Docile, je la prends
immédiatement en bouche et la pompe aussi avidement que la précédente ;
celle-ci semble énorme, d’une taille impressionnante, le mec que je ne vois pas
accompagne ma fellation de puissants coups de reins qui me démontent la bouche,
mais je me force à ne pas reculer et à accepter cette bite qui cherche à me
pénétrer la gorge le plus profondément possible. Il semble apprécier, j’entends
des grognements de plaisir, et il ne tarde pas à se retirer lui aussi pour
éjaculer abondamment en envoyant tout son jus sur mon visage. La puissance des
jets me surprend, le sperme me fouette le visage coule à nouveau sur mon corps.
Je me lèche les lèvres pour goûter ce foutre nouveau qui se mêle à celui de
Patrick et à celui du mec précédent. Je ne me suis même pas rendu compte que la
grosse bite avait disparu. Je reste là au moins cinq minutes, à ne rien faire,
à sentir le sperme qui sèche sur ma peau, à essayer de l’étaler sur mon corps
avec mes bras, toujours joints dans mon dos.
Alors que je
n’y attendais pas, une queue se présente brutalement par le glory hole ; je me
jette dessus comme un affamé et me remets à pomper comme un chienne, cette bite
bien raide va et vient dans ma bouche, d’avoir sucé deux inconnus dont je n’ai
même pas vu le visage ou le corps m’a excité et je mets toute mon ardeur à
pomper celui-ci qui ne sais pas qui je suis, qui vient juste se vider dans une
bouche anonyme, et qui d’ailleurs jouit très vite en m’arrosant à son tour de
son liquide chaud et crémeux. Après lui c’est un défilé presque constant de
bite qui passent et que je pompe en vraie salope ; au bout de treize je perds
le compte mais je pense avoir sucé et vidé une bonne trentaine de mecs ce
soir-là, caché derrière cette cloison opaque qui ne me laissait rien voir des
mecs que je soulageais.
Je n’ai plus
la notion du temps, je ne pense qu’à sucer, sucer, pomper, me faire couvrir de
sperme et vider des couilles. Après une bite d’une bonne vingtaine de
centimètres qu’il m’a fallu téter pendant au moins dix minutes pour la faire
cracher, plus rien ne se présente. Les lèvres encore humides, j’attends
désespérément une autre queue à prendre dans ma bouche, mais j’entends le
cadenas qui ferme la cloison s’ouvrir, et la PORTE COULISSANTE s’ouvre.
Je lève la tête, Patrick se tient là, toujours en t-shirt et dans son jean
coupé à l’entrejambes. Il bande déjà, je le vois aussitôt malgré la pénombre,
et je veux me jeter sur sa bite, mais il m’attrape par les épaules, me retourne
et me pousse en avant. Je tombe le torse contre le sol, le cul relevé ; il
passe une main sur mon visage poisseux de sperme, puis me la met au cul,
enduisant mon trou du foutre de mes derniers assaillants. Il place alors sa
queue sur l’entrée de mon cul, et, poussant d’un coup sec, me l’enfonce
brutalement toute entière.
Je crie de
surprise, de douleur aussi, mais l’excitation d’avoir tant sucé est telle que
sa bite rentre sans problème en moi. Il me défonce ainsi sans ménagement,
donnant des coups de rein puissants qui me déplacent à chaque fois de quelques
centimètres sur le sol ; lorsque je suis arrivé au niveau du lit, Patrick me
prend dans ses bras, me dépose sur le matelas et défait mon lien. Je me
retourne, je suis à présent allongé sur le dos, j’écarte les cuisses et il
revient mettre son sexe dans mon cul bouillant, il commence alors à me niquer
comme une bête, sauvagement, brutalement, entrant et sortant, allant et venant,
s’arrêtant et repartant, jusqu’à ce qu’il envoie ses longs jets de sperme en
moi, tapissant mes entrailles de foutre chaud. Il donne un dernier coup de bite
dans mon cul puis se retire, et monte au-dessus de moi me présenter sa bite. Je
la gobe et la lèche pour bien la nettoyer.
Patrick s’éloigne alors, me sourit. Il me propose de
prendre une douche, quand j’en sors il me tend mes affaires, m’embrasse, et me
remercie pour cette soirée. Je pars, il est 3 heures du matin, et dans le taxi
je reçois un texto : « J’ai passé une super soirée. T’es vraiment une bonne
salope, tous les mecs étaient trop contents. T’imagine même pas ce que tu as
sucé…. A bientôt ».